Une belle soirée de printemps
16 avril 2015
Je suis allée chez le coiffeur voici deux semaines. Je sais que c’est une entorse, voire un sacrilège, puisque les Tibétains ne doivent pas connaître les ciseaux de leur vie.
Je suis allée chez le coiffeur voici deux semaines. Je sais que c’est une entorse, voire un sacrilège, puisque les Tibétains ne doivent pas connaître les ciseaux de leur vie.
l’un contre l’autre,
toute la nuit les amants restent.
Ils se tournent ensemble dans leur sommeil.
Dans l’art de perdre il n’est pas dur de passer maître ; tant de choses semblent si pleines de l’envie d’être perdues que leur perte n’est pas un désastre.
Une Dame est partie. Une soeur qui nous a raconté une partie du monde avec finesse et élégance. Loin, si loin des codes que nous connaissons, et subissons, aujourd’hui.
Retrouver Vlad c’est un des moments heureux de cette partie de boulot, créer un rendez-vous avec les publics